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Quatrième de couverture

Éloge de la folie

Érasme rentrait déçu de Rome, où il avait décliné des avances de la Curie romaine. Dans son œuvre il fait parler la folie qui est présentée comme la maîtresse des hommes. Elle commence avec un éloge imité de l’auteur satirique grec Lucien de Samosate (120-180), dont Érasme et Thomas More venaient de traduire l’œuvre en latin. Érasme y fait parler la déesse de la Folie qui fait un éloge décalé et subtil de l’aveuglement et des compromissions, des superstitions, des pratiques de l’Église et des pédants.

Éloge de la folie

Avertissement

Présentation d’Erasme

Présentation de l’oeuvre

Texte Eloge de la folie

 

Environ 200 500 caractères et espaces blancs.
Version non illustrée.
D’après la première édition parue à Paris, Strasbourg et Anvers en 1511, traduite du latin par l’historien et poète Pierre Girauld de Nolhac (1859-1936).
Mise en page et correction française réalisées par les éditions-arte-politeia.com.
La présentation d’Érasme est tirée du Guide de la révolution non-violente à la mémoire de Gandhi, Jean-Paul Alonso, éd. 2008, éditions-arte-politeia.com.
La présentation de l’œuvre est de Jean-Paul Alonso.

Erasme

Geert Geertsz dit Érasme est né à Gouda près de Rotterdam vers 1466-1469 et est mort à Bâle en 1536. Orphelin vers 17 ans, il entre au couvent des chanoines réguliers avec son frère pour poursuivre ses études et reçoit un enseignement influencé par la Renaissance italienne. Il lit Sénèque, Cicéron, saint Jérôme, saint Augustin et Horace qu’il considère comme son alter ego. Militant infatigable de la paix à travers l’Europe, ses contemporains ont fait de lui « le prince des humanistes » ; sa réputation a traversé les siècles jusqu’à nos jours.